vendredi 22 mai 2015

Dossier X1503: Trésor de guerre - Partie 5 et fin de cet épisode


Cette Web série est une fiction.

Toute ressemblance avec des personnes 
ou des situations réelles ou ayant existées 
ne serait que pure coïncidence
 
 
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Partie 5 : Epilogue



Résumé de la partie précédente : Des hommes ont volé le camion qu’escortaient Alexandre AVEN et le commandant MARCO… La suite et fin c’est maintenant….


20 minutes plus tard, dans la campagne suisse




Irakli GORGASSALI : « Parfait, on entre tous dans l’usine désaffectée !!! »




Irakli GORGASSALI : « Laisse ouvert !!! On va repartir d’ici 20 minutes…. »




Capitaine Ernesto CAPRI : « Les voilà … »




Capitaine Ernesto CAPRI : « Tout s’est bien passé ? »

Irakli GORGASSALI : « Oui. Comme vous l’aviez prévu: une petite escorte. On a pu les suivre sans qu’il ne se doute de rien grâce au traceur que vous aviez mis sous leur voiture… »




Capitaine Ernesto CAPRI : « J’étais sûr qu’ils prendraient peur et sortiraient le magot pour le mettre dans une autre planque car ils ne savaient pas ce que nous savions… »




Irakli GORGASSALI : « Parfait. Ouvre la porte Zviad !!! Qu’on bascule le chargement dans ce camion !!! »




POLICE !!! POLIZEI !!! PERSONNE NE BOUGE !!!




Policier : « AU SOL !!! BOUGE PAS !! »




Policier : « TOURNEZ VOUS !!! »




Irakli GORGASSALI : « Il faut s’enfuir…. »





Policier : « Une voiture tente de partir !!! »




Irakli GORGASSALI : « ENFER !!! La police suisse… Je ne comprends pas…. »




POLICE !!! POLIZEI !!! SORTEZ DE CETTE VOITURE !!!




COUCHEZ VOUS FACE CONTRE TERRE !!!




NE BOUGEZ PAS !!!




Commandant MARCO : « Surprise Ernesto !!! »




Capitaine Ernesto CAPRI : « Vous pouvez me dire ce qui se passe ??? »

Commandant MARCO : « Voyons capitaine CAPRI. Comme si vous n’étiez que les seuls à faire du renseignement… »




Commandant MARCO : « Quelle ne fut pas notre surprise que de découvrir que la femme de Monsieur CHARENBON était votre belle sœur… Nous faisons toujours des enquêtes de moralité et d’entourage assez précises. Lorsque vous avez contacté nos services, nous avons regardé le dossier en détail et avons remonté ses fréquentations avec cette photo de sa compagne du moment…»




Commandant MARCO : « Dès lors nous avons été sur nos gardes. L’assassinat de CHARENBON devait nous faire réagir en protégeant le trésor de guerre. Comme nous ne savions pas ce que savait le gang des géorgiens, il fallait aller sur le lieu secret pour le déplacer ou en le sécurisant encore plus. Pour cela, il fallait connaître l’endroit »




Commandant MARCO : « Vous avez donc mis un traceur sous notre voiture… Soyez plus discret la prochaine fois… On vous voit ici sur le parking de la DPSD le mettre…"




Commandant MARCO : « Il vous fallait aussi des hommes de main pour attaquer le camion car vous vous doutiez vu la quantité du trésor, du moyen de locomotion que nous aurions besoin: un camion discret. Là aussi, vous avez contacté ceux avec qui vous pouviez travailler : un gang que vous connaissiez et dont vous saviez les habitudes pour ne pas être repérer de vos collègues.»




Commandant MARCO : « Lors du chargement, c’était des policiers d’élite de la police fédérale suisse qui étaient dans chaque caisse embarquée. J'imagine la surprise que vous avez eu vous et les géorgiens en voyant ces hommes armés ...»




Commandant MARCO : « Enfin, grâce à votre GPS, nous avons pu savoir où vous étiez. Pas en France, mais ici en Suisse, à attendre vos complices… Vous verrez, les prisons suisses sont charmantes… Surtout avec des voleurs d’or… »




Alexandre AVEN : « Et bien Commandant, voici une affaire rondement menée… Les suisses étaient au courant de votre planque ??? »

Commandant MARCO : « Bien sûr. Nous ne pouvions pas nous permettre, avec cette marchandise, de ne pas la signaler aux autorités helvètes. Très peu sont au courant. Cependant, nous allons la mettre, de manière officielle, dans une des banques bunkers de la Suisse… (Voir l’article en fin de cet épisode)»




Alexandre AVEN : « Mission qui finit bien. J’en ai une que je dois terminer. Je vous demanderai d’ailleurs un peu de votre aide et de votre expérience… »



Fin de l’épisode 4


Découvrez l'épisode 5:



L’épisode 5 : Griffon – Jaguar

De nouveaux véhicules militaires français vont être construits. Mais que se passerait-il si les secrets de fabrication tombaient entre de mauvaises mains ? L’agent AVEN enquête


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L'or des bunkers suisses
Le Point - Publié le 09/08/2011 à 12:13 - Modifié le 13/08/2011 à 14:18

À l'abri des catastrophes nucléaires et des attaques terroristes, les bunkers de l'armée abritent des tonnes de lingots d'or.

L'once d'or vient de franchir le seuil de 1 700 dollars et certains analystes commencent à rêver d'un métal précieux à 4 000 dollars. Mais où ranger lingots et pièces dorés ? Sous son matelas ? Dans le coffre de sa banque ? Mieux ? Dans un ancien bunker de l'armée suisse, au coeur des Alpes. Les montagnes helvétiques sont de vrais gruyères. Un avantage qu'elles doivent au général Henri Guisan, le commandant en chef de l'armée pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce militaire comprend très vite qu'Hitler ne fera qu'une bouchée de ses troupes.

Guisan imagine la politique dite du "réduit". En cas d'invasion, l'armée à croix blanche abandonne les plaines et se retranche dans les glaciers et les sommets. Les bidasses, transformés en troglodytes, attendent de pied ferme la Wehrmacht et les SS dans des cavernes creusées dans les montagnes. Ce "réduit", qui aurait coûté l'équivalent de 7,5 milliards d'euros, a-t-il dissuadé Hitler d'envahir la Confédération ? Durant la guerre froide, le centre de commandement K20, le "bunker des bunkers", était prévu pour accueillir le gouvernement, l'état-major, des parlementaires et les réserves d'or de la Banque centrale.

Possession d'or anonyme

Par mesure d'économie, la Suisse a commencé à se débarrasser de ses bunkers militaires au début des années quatre-vingt-dix. C'est un jeune ingénieur, Dolf Wipfli, qui a eu le premier l'idée de transformer celui d'Amsteg, dans le canton d'Uri, en un gigantesque coffre-fort, à l'abri des catastrophes nucléaires, des tremblements de terre, des attaques terroristes et, bien évidemment, des cambrioleurs. On peut y cacher, en toute sécurité, les données informatiques des banques, des assurances, des grandes sociétés, mais aussi des trésors, en particulier de l'or.

La Suisse, qui n'extrait pas ce métal, est l'un des acteurs majeurs de ce marché très lucratif. Mille tonnes d'or transiteraient chaque année par la Confédération, qui compte cinq entreprises de raffinage. "La possession d'or privé n'est soumise à aucune contrainte et est totalement anonyme. L'importation et l'exportation du métal sont libres", explique Gilles Labarthe, auteur de L'or africain. Pillages, trafics & commerce international. Le magazine économique Bilan décrit les longues files d'attente devant le guichet numismatique d'UBS, à la Bahnhofstrasse de Zurich.


Peut-on visiter ces nouveaux coffres-forts des sommets ? Dolf Wipfli, patron de la société Swiss Data Safe, a laissé entrer une journaliste de Swissinfo, la radio suisse internationale, dans le bunker d'Amsteg. Mais après lui avoir fait signer un accord de non-divulgation. Elle a pu donner ses impressions, mais n'a pu parler ni de la protection, ni de la dimension de la grotte, ni du nombre d'employés... "Les actionnaires de Swiss Data Safe sont heureux : les affaires marchent bien", se contente d'écrire la journaliste.

2 commentaires:

  1. Je me doutais bien qu'il y avait une "entourloupe". je commence à te connaître un peu.... lol. Ceci dit c'est une superbe histoire, pleine de rebondissements. j'ai adoré !

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  2. C'est fait pour ;-) .... Le prochain épisode sera un du GSG9 d'ici une semaine..... Affaire à suivre....

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