jeudi 4 février 2016

Dossier 1602 - SALA - Partie 5



Cette Web série est une fiction.

Toute ressemblance avec des personnes 
ou des situations réelles ou ayant existées 
ne serait que pure coïncidence




Résumé de la partie précédente : Alexandre AVEN a une piste. Le téléphone d’un suspect américain a été détecté sur les lieux du crime et du cambriolage d’un ingénieur français. Il est repéré à l’aéroport de Paris. Alexandre décide de suivre cette piste qui l’emmène à San Francisco. Il découvre que le suspect travaille pour une entreprise américaine d’armements : OTOMATIC Corp. Grâce à un salarié de son ancien employeur, les Assurances MARAL, Alexandre va rencontrer le directeur général de cette entreprise…


Le lendemain, 10h05, Siège de OTOMATIC Corp



Alexandre AVEN : « Tu as réussi à avoir un rendez vous avec le big boss ?? »



Harrison WELLS : « Oui. C’est un de nos plus gros clients de la côte Ouest… »



Harrison WELLS : « Bonjour, Je suis Harrison WELLS des Assurances MARAL. Nous sommes attendus par le directeur général… »

Hôtesse d’accueil : « Oui. Je l’appelle. »



Rick HINTER : « Bonjour, Veuillez me suivre. Mr SEAWOLF vous attend… »



Rick HINTER : « Il vient juste de terminer un rendez-vous ! »



Steven SEAWOLF : « Bonjour. Bienvenue dans les entreprises OTOMATIC Corp »

Harrison WELLS : « Bonjour Monsieur SEAWOLF, ce n’était pas le général Mac Allister ? »



Steven SEAWOLF : « En effet. Nous avons des contrats avec l’armée américaine… Que me vaut le plaisir de vous voir ? »

Harrison WELLS : « Nous avons le plaisir de recevoir un collaborateur du siège central de MARAL, et il voulait rencontrer un de nos plus gros clients de la côte ouest… »



Steven SEAWOLF : « Voulez vous voir notre centre de recherches pendant que nous échangeons ? »

Alexandre AVEN : « Pourquoi pas ! »



Steven SEAWOLF : « Voici un de nos centres de recherches sur les armes. »



Steven SEAWOLF : « Nos techniciens sont entrain d’élaborer des armes de nouvelles technologies. »



Steven SEAWOLF : « Ici c’est un appareil pour un drone mobile… »



Steven SEAWOLF : « Pour l’armée mexicaine… »



Steven SEAWOLF : « ou ici pour un drone de surveillance de site…. »



Steven SEAWOLF : « Il est terminé et va être essayé dans un de nos sites sécurisés… »



Steven SEAWOLF : « Celui-ci fonctionne grâce à une intelligence artificielle et est autonome… »

Alexandre AVEN : « Intéressant. Car en France, un de nos clients travaille aussi sur ce genre d’armements… Mais un de leurs collaborateurs est décédé après qu’on lui est volé des données… »



Steven SEAWOLF : « Tué ??? »

Alexandre AVEN : « Oui. Une enquête est en cours et risque d’avoir des répercussions internationales… Mais je parle, je parle… Monsieur WELLS voulait me présenter à un autre client et j’imagine que votre temps est précieux !!! Merci pour cette visite… »



Harrison WELLS : « Pourquoi lui avoir dit qu’une enquête avait lieu ? »



Alexandre AVEN : « Je compte bien lui faire peur. Je suis persuadé que ses hommes ne lui ont pas tout dit sur comment ils se sont procurés les informations en France… »



En effet, 10 étages plus haut

Steven SEAWOLF : « Qu’est ce que c’est que cette histoire ? Vous avez tué l’ingénieur français ??? »




Peter COOPERS : « Mais vous aviez dit : par n’importe quel moyen !!! »

Steven SEAWOLF : « Oui, mais pas comme ça… Comment voulez vous que l’on puisse utiliser cette technologie ??? Sans mort, il y aurait eu suspicion de vol et mes avocats auraient réussi à gagner…. Mais avec un mort… On ne pourra même pas utiliser ces inventions sans être associer à un meurtre !!! »



Steven SEAWOLF : « Disparaissez le temps que cette histoire s’oublie !!! »



Au même instant 10 étages plus bas…

Paul DURANT, agent de la DGSE : « J’étais sûr de vous trouver par ici… 2 inspecteurs du FBI sont ici et ont eu le mandat international d’enquête délivré par Interpol comme cous me l’aviez demandé hier… Ils nous attendent  au coin de la rue… Venez que je vous présente… »



Paul DURANT, agent de la DGSE : « Voici l’inspecteur spécial Steve OLAMA et l’inspecteur spécial Peter O’TOOL »



Alexandre AVEN : « Enchanté… On vous a déjà dit que vous ressembliez au président des USA ??? »

Steve OLAMA, inspecteur du FBI : « Oui, très souvent… Nous allons pouvoir entendre votre suspect, un certain Peter COOPERS. »



Alexandre AVEN : « Oui. Il doit être certainement dans les bureaux. Justement, le voilà qui sort de l’immeuble de OTOMATIC Corp… »



Steve OLAMA, inspecteur du FBI : « Mister COOPERS, Peter COOPERS, FBI, vous pouvez nous suivre s’il vous plait !!! »



Steve OLAMA, inspecteur du FBI : « Et Shit !!! Il s’enfuit !!! »



Steve OLAMA, inspecteur du FBI : « Allo Peter ? C’est OLAMA, notre suspect s’enfuit !!! Rejoins nous avec la voiture juste devant !!! »










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